Anne-Claire Lachèze
Naturopathe pour Animaux
Conseillère en Fleurs de Bach
Vétérinaire
Anne-Claire Lachèze
Naturopathe pour Animaux
Conseillère en Fleurs de Bach
Vétérinaire
L’état de bonne santé dépendant d’une circulation fluide et harmonieuse de l’énergie à travers le corps, toute perturbation de la circulation de l’énergie, que ce soit sur le plan physique, émotionnel ou mental entrainera à plus ou moins court terme un mal-être ou une maladie.
A l’heure actuelle, les avancées de la physique quantique ont démontré que tout être vivant, qu’il soit humain ou animal, est avant tout un être d’énergie, composé de différents champs vibratoires de fréquences plus ou moins élevées, rejoignant ainsi ce que les médecines ancestrales telles que l’ayurvéda et la médecine traditionnelle chinoise ont décrit il y a des milliers d’années.
Le corps physique est le plus dense de ces corps, et celui dont la fréquence vibratoire est la plus basse, ce qui permet de le visualiser et de le palper. Tous les êtres vivants ont une énergie vibratoire qui leur est propre, et au sein de chacun d’entre eux, chaque tissu, chaque organe a sa vibration.
Le corps éthérique, ou biochamp, entoure le corps physique. C’est un champ électromagnétique qui protège et nourrit le corps physique.
Si le biochamp, corps énergétique entourant le corps physique, assure correctement sa fonction de filtre, il va repousser les stimuli négatifs à l’origine de mal-être ou de maladies et intégrer les stimuli positifs qui contribueront à la bonne santé de l’organisme et au sentiment de bien-être.
Animal en bonne santé : le biochamp
repousse les stimuli nocifs et intègre
les stimuli bénéfiques pour le corps physique
Lors d’affaiblissement du biochamp, ou si les stimuli négatifs (virus, bactéries, aliments toxiques, conditions météorologiques extrêmes, émotions négatives, etc.) sont trop puissants, ce champ énergétique protecteur peut avoir du mal à les repousser. L’animal va alors, dans un premier temps, selon le stimulus perturbateur, ressentir de la fatigue, avoir de la fièvre, présenter une baisse d’appétit ou encore éprouver momentanément de la tristesse, de la peur ou de la colère.
Affaiblissement du biochamp
ou stimuli négatifs trop puissants,
l’animal commence à se sentir moins bien
Si le biochamp réussit finalement à repousser les facteurs perturbateurs, l’animal va récupérer sa vitalité et sa joie de vivre. A l’inverse, si le biochamp continue à laisser passer les stimuli négatifs, le corps physique va finir par se retrouver impacté et des symptômes vont apparaître à son niveau.
Évolution défavorable et apparition
de symptômes ★
au niveau du corps physique
On comprend aisément que les symptômes observés au niveau du corps physique ne sont que la conséquence et les signes visibles d’un dysfonctionnement plus profond et que les supprimer ne permet pas de soigner la véritable cause de la maladie.
Il est également évident qu’un environnement adapté aux besoins physiologiques et psychologiques de l’animal est indispensable au bien-être et à la bonne santé de celui-ci.
« Il n’y a pas de hasard dans la maladie, ni dans le type de la maladie, ni dans la partie du corps affectée.
Comme tous les résultats de l’énergie, cela suit la loi de cause à effet. »
Edward Bach